50 milliards de dollars, c’est le prix annoncé par McKinsey concernant le marché des crédits carbone d’ici 2030. Alors que de nombreuses initiatives se développent autour de la thématique, il est alors question de planifier un investissement réaliste afin d’optimiser les rendements d’ici 7 ans.
Les crédits carbone comme solution écologique
Dans un rapport de 2021, McKinsey expliquait pourquoi et comment le marché des crédits carbone pourrait éventuellement atteindre les 50 milliards de dollars d’ici 2030. Selon le cabinet international, les crédits carbone sont effectivement une solution intéressante pour les petites, moyennes et grandes entreprises :
“Pour beaucoup, il sera nécessaire d’utiliser des crédits carbone pour compenser les émissions dont ils ne peuvent pas se débarrasser par d’autres moyens.” expliquait ainsi Christopher Blaufelder, Cindy Levy, Peter Mannion, et Dickon Pinner dans leur rapport.
L’agence poursuit en expliquant que les crédits carbone pourraient également être utilisés par les entreprises afin que ces dernières puissent atteindre leurs objectifs concernant le changement climatique.
“Pour atteindre l’objectif de 1.5 degrés, il faudrait que les émissions mondiales de gaz à effet de serre soient réduites de 50% par rapport aux niveaux actuels d’ici 2030 et réduites à zéro net d’ici 2050. De plus en plus d’entreprises s’alignent sur ce programme : en moins d’un an, le nombre d’entreprises ayant des engagements nets zéro a doublé, passant de 500 en 2019 à plus de 1 000 en 2020.”
Quid des particuliers ?
Si le rapport très détaillé de McKinsey met en exergue les avantages et les bénéfices de l’utilisation des crédits carbone par les entreprises, il n’argumente pas sur les cas des particuliers.
En effet, l’utilisation des crédits carbone reste majoritairement utilisée par les entreprises et les professionnels. L’avantage pour les particuliers n’est pas réellement évident. À la maison, il est surtout question de tri sélectif et de “conscience écologique”.
C’est la somme des efforts prodigués par chaque individu qui représente un poids intéressant concernant la planète. L’effort collectif ainsi concentré autour du tri sélectif représente une donnée cruciale quant à la réduction de l’empreinte carbone globale.
D’après CITEO, le recyclage est en large progression. En France seulement, en 2021, 139 000 tonnes d’emballages supplémentaires ont été recyclées par rapport à 2020. La même année, le taux de recyclage des emballages est de 72 %, soit 3% de plus que l’année précédente.
Ecoterra : recycle to earn
Fort du constat précédent, le projet Ecoterra a vu le jour. Le projet crypto cherche à encourager les individus à recycler leurs déchets. Pour cela, il est question de les récompenser au travers d’une crypto-monnaie créée expressément pour cette situation : le token ECOTERRA.
En pratique, il sera simplement question de se rendre à des bornes dédiées afin d’y jeter ses déchets. Un ticket sera alors à scanner grâce à l’application Ecoterra. Par la suite, en fonction de la quantité recyclée, une certaine quantité de token sera attribuée à l’utilisateur.
Les déchets ainsi éliminés seront évidemment recyclés, puis proposés aux industries en recherche de matériaux peu chers. La boucle est bouclée.
La plateforme tient également à se positionner comme pilier de la sphère écologique. En effet, les utilisateurs auront la possibilité de contribuer à différentes initiatives toutes centrées autour du même objectif : la diminution de l’empreinte carbone.
Un protocol vert et peu énergivore
À l’inverse de Bitcoin, Ecoterra a opté pour le proof of stake. Comme Ethereum l’a démontré lors du Merge, cela permet avant tout de réduire la consommation d’énergie de plus de 99%. Ecoterra se positionne donc comme un projet vert dans sa proposition, mais également dans sa manière de fonctionner.
Le cycle du recyclage proposée permet également une logistique simplifiée qui s’inscrit également dans un procédé vert. Les particuliers, du fait de leur effort, permettent aux entreprises de polluer moins. En parallèle, les foyers s’offrent ainsi une opportunité de remporter des tokens mais également de diminuer leur propre empreinte carbone.
Ecoterra est en prévente
La plateforme Recycle to earn organise actuellement ses préventes. Celle-ci progressent rapidement à cause de l’originalité du projet et du besoin auquel il répond. Par ailleurs, il est nécessaire de mentionner le fait que Ecoterra répond à un réel besoin en apportant une solution évidente qui offre de nombreuses opportunités.
Lors de cette ICO, c’est le token ECOTERRA qui est proposé aux investisseurs. Celui-ci est disponible sur la blockchain Ethereum en raison de son faible coût en énergie.
La prévente du token est évidemment organisée de manière graduelle. Ainsi, lors de chaque nouveau palier, le prix de l’actif augmente un peu. En fin de prévente, celui-ci sera listé au prix de 0.01$. Pour l’heure, le token est proposé à 0.00775$, mais il augmentera bientôt pour atteindre les 0.0085$ en 7ème phase.
Les investisseurs souhaitant découvrir le projet devront simplement connecter leurs wallet et procéder à la transaction en échange de token ETH ou USDT. Par ailleurs, une option permettant d’acheter ces token par carte de crédit est également présente directement sur le site de la plateforme.
Avis de non-responsabilité
Avis de non-responsabilité : Cet article est un contenu sponsorisé et ne représente pas le point de vue ou l’opinion de BeInCrypto. Bien que nous adhérions aux directives de The Trust Project concernant les rapports impartiaux et transparents, ce contenu est créé par une tierce partie et est destiné à des fins promotionnelles. Les lecteurs sont invités à vérifier les informations de leur propre chef et à consulter un professionnel avant de prendre des décisions sur la base de ce contenu sponsorisé.
