Alors que Decentraland et Sandbox sont sur le déclin, un nouveau projet de jeu P2E organise sa prévente. Grâce à une approche soignée et un réel travail de fond, la plateforme pourrait bel et bien détrôner les acteurs majeurs de l’industrie P2E pour de bon.
Decentraland est mort
Ouvert au public depuis 2020, le projet Decentraland avait alors suscité l’enthousiasme de nombreux investisseurs et gamers. Dans un open world, la plateforme proposait à ses utilisateurs d’acheter et d’échanger tout type de bien grâce à la technologie de la blockchain. Sa crypto, le MANA, était alors un fondement économique solide et représentatif d’une communauté en constante ébullition.
Toutefois, il n’aura pas fallu longtemps avant que le déclin de Decentraland ne se fasse ressentir. En mars 2020, déjà, PC Gamer accusait le jeu d’avoir des temps de chargement trop long et des problèmes d’authentification. En 2021, Wired rajoutait de l’huile sur le feu, pointant du doigt les problèmes de modération qui menaient déjà à des abus. Les utilisateurs y avaient créé des NFTs et des avatars avec des propos racistes et injurieux dans leurs noms.
En 2023, il est clair que Decentraland n’est plus, et ne sera probablement plus jamais. Pour preuve, un tracker qui indique le nombre d’utilisateurs connectés en simultané. Au moment de la rédaction de cet article, les compteurs indiquent zéro.
Sandbox est-il encore concurrentiel ?
Sandbox est un véritable pilier de l’industrie du jeu vidéo type bac à sable. Il faut dire que le jeu n’était, au départ, pas destiné à arriver sur la blockchain. Développé en 2012 par Pixowl, le jeu arriva finalement sur Steam en 2015. Il aura fallu attendre 2018 pour que Sandbox soit racheté par Animoca Brands et que le jeu n’arrive sur la blockchain.
Si la modération et le taux de fréquentation sont de moindre problèmes en comparaison de Decentraland, il faudra aller chercher du côté des mécaniques du jeu pour trouver de nombreuses erreurs. La personnalisation des avatars est intéressante chez Sandbox. Le jeu a son propre style, pixelisé en 3D. Le choix est large et les possibilités nombreuses.
On regrettera toutefois le manque de possibilités quant à la personnalisation de l’environnement. Il n’existe pas non plus de véritable scénario au jeu. L’exploration est au rendez-vous, mais le tour est vite fait et l’ennui se fait vite ressentir. L’aspect économique tend parfois à verser dans la répétition, et les prix ne sont pas accessibles à tout le monde.
RobotEra tire des leçons du passé
RobotEra propose son jeu P2E, lui aussi. Toutefois, la plateforme tient à rester original, et pour cela, l’équipe a pris une décision sage : apprendre des erreurs des autres. Afin de pouvoir proposer un contenu diversifié, attrayant, régulièrement renouvelé et accessible, RobotEra a fait le choix de la personnalisation par sa communauté.
Chaque joueur possèdera son espace privé qu’il pourra personnaliser à sa guise via les NFTs présents sur la marketplace. Evidemment, chaque joueur pourra créer ses propres NFTs et les proposer à la communauté, à la manière de Decentraland. Toutefois, grâce au TARO comme token de gouvernance, la modération pourra être effectuée par la communauté elle-même et les utilisateurs pourront donc se réguler entre eux.
Du côté des espaces publics, c’est l’opinion publique qui prévaudra, là aussi. La personnalisation des grandes villes sera également possible mais uniquement sur vote. RobotEra se propose donc comme un jeu qui appartiendra, avant tout, à sa communauté, laquelle aura en charge l’organisation et l’orientation du développement de la plateforme.
Un background travaillé et original
Decentraland et Sandbox ont tous les deux oublié un élément crucial : le scénario. RobotEra en a un, et il est particulièrement original. Le joueur évoluera sur une planète nommée Taro. Après une guerre ayant opposé les habitants aux envahisseurs, les deux camps ont finalement disparu, complètement éradiqué. Ne subsistent que les restes d’une civilisation oubliée.
Le rôle du joueur est alors d’incarner un robot, ou plutôt, le NFT d’un robot, et de partir à l’aventure. Entre exploration et découverte, le métavers de RobotEra en impressionnera plus d’un. Au programme, de nombreuses grandes villes, des événements réguliers, mais également quelques environnements secrets et d’autres possibilités de farming permettant aux joueurs de gagner des TARO.
La prévente du TARO est en cours
Il est clair que le TARO sera l’élément indispensable pour pouvoir s’offrir le droit d’entrer dans le métavers de RobotEra. En parallèle, il faudra également acquérir un NFT afin de pouvoir progresser et évoluer sur Taro et ainsi bénéficier de tout ce que le jeu a à offrir à ses utilisateurs. La prévente de RobotEra a donc un intérêt tout particulier pour les joueurs.
Pour l’heure, la somme de 1.2M$ a déjà été levée. Le TARO est proposé au prix de 0.023$, mais le prix du token augmentera très bientôt. Le listing de la crypto est prévu dès la fin de la prévente. Aucune date n’a été annoncée, et la suite du programme se jouera dès lors que l’intégralité des tokens auront été vendus.
Afin de pouvoir découvrir ce projet play to earn les utilisateurs peuvent se rendre sur le site officiel de la plateforme et connecter leu wallet. Le TARO est basé sur la blockchain Ethereum, en conséquence, il est possible d’acquérir des tokens en échange d’ETH et d’USDT. Une option d’achat de crypto-monnaies par carte de crédit est également disponible directement sur le site.
Le projet a été audité par Sharkteam et CoinSniper.
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