Alors que l’IA transforme les métiers et les usages quotidiens, la société Brikiz parie qu’elle peut aussi révolutionner la manière d’investir dans la pierre.
SponsoredBrikiz veut changer l’immobilier
L’intelligence artificielle s’impose aujourd’hui comme un véritable levier de transformation. Alors que celle-ci est devenue un outil quasi indispensable du trading et de l’investissement, allant même jusqu’à s’enrichir elle-même, la startup française Brikiz pousse encore plus loin cette révolution technologique en l’appliquant à l’investissement immobilier.
Fondée par Jérémy Négrier, Brikiz ambitionne de réinventer l’accès à l’investissement immobilier en France. Dans un marché où les prix s’envolent et les démarches se complexifient, la plateforme veut donner aux particuliers les moyens de reprendre la main.
Son objectif : rendre l’investissement locatif aussi transparent qu’efficace, sans passer par les circuits traditionnels et en toute autonomie. Grâce à son assistant intelligent, Brikiz guide l’utilisateur depuis la recherche d’un bien jusqu’à la constitution de son dossier bancaire, en passant par la vérification automatique des documents et l’analyse en temps réel du marché.
L’outil s’appuie sur une IA capable d’interpréter les flux de données et de proposer des recommandations personnalisées selon le profil et les objectifs de l’investisseur. Le plus grand défi reste de restaurer la confiance grâce à un accompagnement rigoureux, combinant expertise humaine et puissance algorithmique, dans un contexte où des milliers de Français sont victimes d’arnaques immobilières liées à de faux courtiers.
Une IA de plus en plus présente
Alors que les chatbots et autres outils numériques se multiplient, l’État français expérimente déjà un agent IA pour épauler 10 000 agents publics dans leurs missions. Les usages de l’IA se généralisent donc, ce bien au-delà de la recherche d’efficacité.
Plus récemment, le Premier ministre albanais Edi Rama a nommé Diella, un agent artificiel ministre chargé de l’attribution des marchés publics. Les acteurs privés suivent le mouvement : même les géants de la tech, à l’image d’Amazon, veulent encadrer les agents IA pour éviter les dérives de surassistance… ou le fait que ceux-ci évitent aux clients de faire leurs courses eux-mêmes et donc de voir des publicités ! Jusqu’où le phénomène ira-t-il ?
La morale de l’histoire : quand l’IA s’en mêle, même les briques deviennent futées.