De nouvelles preuves lient Vitalik Buterin au hack de Gatecoin en 2016. La justice serait en train de s’emparer de l’affaire.
De vilaines rumeurs émergent concernant Vitalik Buterin
Ethereum cacherait-il un lourd secret ? Alors que l’on prédit déjà son prix après approbation des ETF, une vilaine rumeur concernant Vitalik Buterin fait le tour des réseaux sociaux ce matin. Celui-ci serait actuellement surveillé par les autorités américaines pour des histoires de piratage.
Que se passe-t-il vraiment ? Pour le comprendre, il faut remonter à 2016, date à laquelle la plateforme d’échange Gatecoin s’est fait dérober 185 000 ETH. Malgré les années qui ont passé, l’incident n’a pas quitté l’esprit de certains membres de la crypto sphère qui ont enquêté de leur côté.
L’enquêteur TruthLabs a récemment fait le buzz en partageant ses découvertes : Vitalik Buterin et la Fondation Ethereum seraient les auteurs du hack !
Un contrat intelligent aurait été utilisé pour diviser les fonds entre le wallet de la Fondation et de plusieurs autres personnes. Les ETH reçus auraient ensuite été revendus par l’intermédiaire de Kraken, affirmations justifiées par les données blockchains et l’API du compte utilisé pour la liquidation.
Pire encore : plusieurs données montreraient que Vitalik Buterin et ses acolytes auraient œuvré bien en amont pour préparer le hack avec l’aide d’un développeur de Gatecoin !
Des investigations juridiques sont bel et bien en cours
Si les preuves apportées par TruthLabs font le buzz, elles ne sont pas restées lettre morte devant la justice. Un cabinet d’avocat américan a lancé sa propre enquête en vue d’un procès et il est probable qu’un juge vienne mettre un point final à cette histoire.
De son côté, Vitalik Buterin n’a pas tenté d’infirmer les rumeurs et on généralement justifie le piratage par une nécessité de sauver la Fondation Ethereum alors au bord de la ruine.
Pour aller plus loin : qui est Vitalik Buterin ?
Attention toutefois, les allégations de piratage doivent encore faire l’objet d’une vérification par les autorités, d’autant plus qu’elles proviennent d’une seule source. Les faits restent donc à prendre avec des pincettes tant que leur véracité n’aura pas été attestée par d’autres experts.
La morale de l’histoire : un jugement trop prompt est souvent sans justice.
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