Interrogé au sujet de la potentielle élection prochaine de Donald Trump, ChatGPT nous a aidé à produire des prédictions concernant la future présidence de l’entrepreneur devenu politicien, et qui ne sont pas sans rappeller celles du sort de la Turquie sous son président actuel, Recep Tayyip Erdoğan.
Une possible réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis pourrait préparer le terrain pour une montée significative de l’inflation, de manière similaire à la situation économique que la Turquie a connue sous le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan. Les politiques économiques de M. Trump, qui comprennent des baisses d’impôts supplémentaires, l’augmentation du déficit public, l’imposition de tarifs douaniers, la déportation massive d’immigrants, ainsi qu’une tentative de manipulation de la Réserve Fédérale américaine, pourraient en effet contribuer ensemble à une inflation accrue et à une dévaluation du dollar.
Réductions Fiscales et Déficit Public
Donald Trump a proposé de nouvelles réductions d’impôts, ce qui, bien que potentiellement populaires parmi ses électeurs, pourrait également creuser le déficit budgétaire américain. Les déficits plus élevés, financés par l’emprunt, peuvent alors entraîner une augmentation de la demande globale, qui dépasse la capacité de production de l’économie, générant ainsi des pressions inflationnistes. Ce phénomène a été clairement visible en Turquie, où la politique de dépenses publiques accrues d’Erdogan a exacerbé l’inflation.
Tarifs Douaniers
L’instauration par Trump de tarifs douaniers concernant une vaste gamme de produits importés est censée protéger les industries américaines, mais elle a également pour effet de renchérir le coût des biens importés, contribuant ainsi directement à l’inflation. Là encore, un parallèle peut être tracé avec la Turquie, où des politiques protectionnistes similaires ont également conduit à des hausses de prix pour les consommateurs.
Déportation des Immigrants
Le projet de Trump de déporter des millions d’immigrants illégaux pourrait priver le marché du travail d’une main-d’œuvre à bas prix, ce qui entraînerait une hausse des coûts de production pour de nombreuses entreprises, augmentant à son tour les prix à la consommation. La Turquie, bien qu’elle ne pratique pas une politique similaire, a également expérimenté des pénuries de main-d’œuvre dans certains secteurs, contribuant à des hausses salariales qui ont alimenté l’inflation.
L’Indépendance de la Fed
Enfin, Trump a clairement exprimé son désir de contraindre la Fed à maintenir des taux d’intérêt bas pour favoriser les investissements et la croissance économique. Toutefois, cette politique peut là encore affaiblir le dollar et accroître l’inflation, car des taux plus bas réduisent le rendement des actifs libellés en dollars, diminuant ainsi leur attractivité pour les investisseurs étrangers. Le président turc Erdogan a adopté une approche similaire, critiquant fréquemment la banque centrale du pays et demandant des taux plus bas, ce qui a mené à une dévaluation dramatique de la livre turque et à une inflation galopante.
En conclusion, bien que les contextes économiques des États-Unis et de la Turquie présentent des différences significatives, les similarités dans les politiques économiques proposées par Donald Trump et celles menées par M. Erdogan font office d’avertissement : sans une gestion prudente, les politiques de stimulation économique à court terme peuvent conduire à des problèmes économiques à long terme, tels que l’inflation et la dévaluation de la monnaie.
Morale de l’histoire : Jamais deux sans trois, en mauvaises réélections comme pour le reste.
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