Vitalik Buterin se débarrasse de certains jetons stockés dans son wallet. Une décision qui fait autant spéculer qu’elle étonne.
Alerte dans l’univers crypto : Vitalik Buterin, cofondateur d’Ethereum, fait le tri dans son wallet, envoyant un message fort aux créateurs de jetons.
Vitalik Buterin fait le ménage
Le 28 septembre 2025, le portefeuille vitalik.eth, lié à Vitalik Buterin, a vendu 150 milliards de jetons PUPPIES contre 28,58 ETH (environ 114 700 $) et 1 milliard d’unités ERC-20 pour 13 889 USDC (plus de 13 800 $), selon la plateforme de suivi Lookonchain.
SponsoredCes ventes, réalisées en moins de deux heures, confirment un comportement régulier du développeur : transformer rapidement ces airdrops en actifs stables, montrant son désintérêt pour ces jetons volatils.
Ces opérations ne représentent qu’une fraction minime de la capitalisation d’Ethereum, qui avoisine les 495 milliards de dollars, mais elles provoquent un fort écho dans la communauté
Vitalik tient à refuser toute implication non désirée, rappelant qu’il n’accepte ni crypto, ni rôles de gouvernance sans accord préalable, invitant au passage à privilégier des dons caritatifs.
Une vente qui fait exploser les prix ?
Cette démarche rappelle une opération majeure de 2021 : Vitalik avait reçu 500 000 milliards de Shiba Inu, soit la moitié de l’offre totale, de la part du fondateur anonyme Ryoshi. Refusant cette position involontaire, il brûla 410 000 milliards de SHIB et fit don du reste à plusieurs associations, notamment pour la lutte contre la Covid en Inde. Bien que le cours du SHIB ait chuté à court terme, il s’est ensuite envolé, devenant un meme coin majeur.
Fin août 2025, Vitalik avait déjà vendu 2 000 milliards de jetons MANYU, d’une valeur de près de 40 000 $. Paradoxalement, cette vente fut suivie d’une hausse de plus de 56 % en 24 heures, montrant que ses mouvements influencent parfois l’attention et la valorisation des projets visés.
Les dernières ventes feront-elles grimper le cours du PUPPIES ? Seul le temps saura nous le dire.
La morale de l’histoire : quand Vitalik rejette une crypto, ce n’est jamais un simple geste.