Encore un nouveau procès raté pour Craig Wright ! La justice anglaise vient de le déclarer coupable de fraude suite à une petite erreur étonnante.
Craig Wright perd son procès… pour une erreur
Cela fait près de 14 ans que la crypto sphère cherche à savoir qui est Satoshi Nakamoto. Une chose est désormais certaine : ce n’est pas Craig Wright ! L’informaticien australien a subi une nouvelle défaite face à la justice grâce à un élément très important.
Après un mois de délibération et de débat, le juge anglais James Mellor vient de déclarer la Crypto Open Patent Alliance (COPA) victorieuse du procès qui l’opposait à Craig Wright. Selon lui, l’accusé ne dispose d’aucun élément qui pourrait confirmer sa parenté avec Bitcoin. Il n’est pas Satoshi Nakamoto et n’a pu participer à aucun travail de groupe pour y donner naissance.
Cette décision fait suite à un examen approfondi de différents dossiers, notamment de déclarations déposées par l’informaticien australien. Le doute n’a pas été présent très longtemps puisque les documents présentaient de nombreux anachronismes, comme le fait qu’il aurait codé en C++ à 11 ans alors que celui-ci n’existait pas.
Il a, de même, été incapable d’expliquer les fondamentaux du codage en question.
Pour toute conclusion, Craig Wright va devoir cesser de se faire passer pour Satoshi Nakamoto. Il devra rembourser tous les frais de justice de la COPA et pourrait risquer une amende ou, mais cela est quasiment impossible, une peine d’emprisonnement pour fraude.
L’industrie entre joie et moqueries
Cette nouvelle défaite de Craig Wright est accueillie à bras ouverts par la crypto sphère. Le conseiller Bitcoin Hodlnaute, qu’il avait attaqué auparavant pour diffamation, ne cache pas son soulagement.
La moquerie est donc de mise pour la plupart de la crypto sphère habituée à voir l’accusé falsifier ses documents et se faire renvoyer par la justice. Une dernière pensée subsiste toutefois pour l’entrepreneur Calvin Ayre, le sponsor de Wright, qui a déboursé plusieurs millions de dollars pour ses frais de justice.
La morale de l’histoire : Craig Wright ment mais ses songes deviennent sa vérité.
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