Acculé par la sécheresse et la pollution, le gouvernement français se penche en urgence sur l’écologie. Un projet crypto a voulu agir à sa façon.
La crypto, un tremplin pour une France plus verte ?
Alors que la sécheresse et le réchauffement global deviennent de plus en plus problématiques en France, le gouvernement a dévoilé hier son nouveau plan pour le climat. Si celui-ci peine à convaincre, la crypto locale n’a pas attendu le feu vert pour agir.
Parmi les acteurs engagés, la plateforme de financement de l’économie circulaire par la crypto, Erable. Cette dernière a mis la main à la pâte en partenariat avec l’entreprise de restauration Pyxo. En effet, puisque celle-ci fournit de nombreux restaurants en vaisselle jetable. D’autant plus qu’au lieu d’être jetée, celle-ci dessert désormais une bonne cause.
SponsoredLe principe du partenariat est simple : Erable propose des NFT au public et reverse l’argent collecté à Pyxo. L’entreprise équipe alors les restaurants de containers qui serviront à récupérer leur vaisselle jetable et à la recycler.
En bout de course, les fonds issus de ce système de location de containers sont reversés de manière régulière aux acheteurs des NFT.
Selon des données partagées par les deux acteurs, le déploiement de ce système permet d’éviter pas moins de 6 m3 de plastique chaque semaine. Soit l’équivalent de 42 caddies de courses.
L’écologie, un enjeu majeur de l’industrie ?
Pendant que la France se prépare à agir du côté du recyclage du plastique, les initiatives globales, de ⛏️ l’amélioration des infrastructures de minage à l’émission de jetons dits verts, ne manquent pas.
Tandis que le jeton Ecoterra fait de plus en plus parler de lui, un autre projet prend position dans l’écosystème. En effet, My Lovely Planet a récemment annoncé le lancement d’un actif qui servirait à participer à la protection de l’environnement. Plantation d’arbres ou captation de CO2 sont donc au programme. Le tout par l’intermédiaire d’un jeu dans lequel chaque action a ses conséquences sur l’écologie !
La morale de l’histoire : même les plus récentes technologies peuvent être vertes.
