Alors que Bitcoin est de plus en plus prisé, même par des Etats, l’actif pourrait-il provoquer un conflit à grande échelle ? ChatGPT nous répond.
ChatGPT annonce que Bitcoin pourrait pousser certains pays à la confrontation
Lorsque l’on parle des confrontations concernant Bitcoin, cela se réfère bien souvent aux oppositions relatives aux régulations. Cependant, avec l’accroissement du prix de Bitcoin, l’affrontement pourrait-il aller plus loin ? Une guerre militaire ou une guerre cybernétique notamment, pourrait très bien en motiver plus d’un. Surtout si à l’avenir, la pièce de Satoshi Nakamoto grimpe jusqu’au million de dollars. A ce moment-là, la market cap serait approximativement de 21 billions de dollars. Pour rappel, à son apogée, le marché crypto a réussi à atteindre une capitalisation boursière totale de 3 milliards de dollars.
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Et si Bitcoin en vient à s’échanger à ce prix-là, il pourrait faire beaucoup plus d’intéressés.
Même si dérober des cryptomonnaies est une tâche difficile, on a vu que les hacks crypto peuvent parfois arriver. Cependant, pour Bitcoin, la tâche pourrait s’avérer plus complexe. Notamment si les jetons sont stockés sur des portefeuilles à froid et hautement sécurisés.
Cependant, en cas d’attaques cybernétiques, cela pourrait déclencher des tensions internationales, notamment si celles-ci ont lieu entre pays “amis”. Ainsi, ChatGPT estime à 10 % la possibilité d’une guerre militaire pour tenter de posséder davantage de Bitcoin. En ce qui concerne une guerre cybernétique, la possibilité d’un conflit augmenterait jusqu’à 20 %.
L’Intelligence artificielle mise sur une prévention de la paix
Même si les théories loufoques ne sont pas à écarter complètement, ChatGPT préfère tout de même garder les pieds sur Terre. En effet, même si la probabilité 0 n’existe pas, l’IA pense qu’une guerre pour Bitcoin est quand même hautement improbable. Déjà, la probabilité accordée aux deux évènements est très faible, et surtout, le chatbot nous met en garde.
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Premièrement, une guerre militaire ne devrait pas arriver puisque les gouvernements travaillent beaucoup sur la prévention des conflits armés, notamment entre pays occidentaux. D’autant plus que ces derniers sont les plus à même de posséder du BTC. Mais encore, Bitcoin étant un actif numérique et non physique, il est donc difficile de mettre la main dessus comme il est possible de le faire avec des ressources naturelles comme le pétrole. L’usage de la force ne devrait donc pas servir à grand chose.
Au contraire, la cybersécurité est quelque chose à surveiller, puisqu’il s’agit du moyen le plus “facile” d’accès à un portefeuille Bitcoin. Dans ce contexte, les menaces pourraient potentiellement venir d’acteurs non étatiques, comme c’est le cas de la majorité des groupes de hackers. A l’heure actuelle, seul le Lazarus Group semble lié à un Etat, la Corée du Nord.
Malgré tout, les probabilités augmentent lorsque cela concerne une acquisition on ne peut plus normal de jetons. L’IA ChatGPT table sur une probabilité de 30 % pour que des pays membres du G20 se décident à acheter la première cryptomonnaie au monde.
Morale de l’histoire : Jusqu’à où sont-ils prêts à aller les acteurs internationaux pour avoir du Bitcoin ?
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