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Crypto coins ou tokens : Quelle est la différence ?

14 mins
Mis à jour par Célia Simon
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Bien que les termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, les tokens (ou jetons) et les coins (ou pièces) constituent deux types distincts de crypto-monnaies. Il est donc important d’en connaître la différence, car l’utilisation de l’une ou de l’autre peut s’accompagner de différentes attentes notamment en matière de confiance. Ce guide vous explique ainsi toutes les différences entre les tokens crypto et les pièces, ou crypto coins, en plus de présenter les plateformes idéales pour l’achat de l’un ou de l’autre.

Les coins crypto, c’est quoi ?

Dans le monde des crypto-monnaies, les pièces, ou coins en anglais, représentent des actifs numériques natifs d’une blockchain. En d’autres termes, il s’agit d’actifs conçus sur cette blockchain elle-même plutôt qu’à partit de celle-ci.

Pour aider, nous pouvons comparer la situation à celle des nations. La devise native des États-Unis est le dollar américain (USD), ou encore la livre sterling (GBP) pour le Royaume-Uni et l’euro (EURO) pour la zone euro. De même, la crypto-monnaie native de la blockchain Bitcoin est le bitcoin (BTC), tandis qu’il s’agit de l’éther (ETH) pour Ethereum et le solana (SOL) pour la blockchain Solana.

Tout va bien jusque-là ? Passons à l’étape suivante. Le département du Trésor américain émet par exemple sept dénominations de papier-monnaie (1, 2, 5, 10, 20, 50 et 100 dollars) et cinq dénominations de pièces (1 ¢, 5 ¢, 10 ¢, 25 ¢, 50 ¢). De même, les coins crypto ont plusieurs dénominations.

BitcoinEthereum
1 BTC1 ETH
0,1 dBTC (decibit)0,001 finney
0,01 cBTC (centibit)0,000001 Szabo
0,000001 μBTC (bit)0,00000001 gwei (gigawei ou Shannon)
0,0 000001 sat (satoshi)0,000000000001 mwei (megawei ou Babbage)
0,00000000001 msat (millisatoshi)0,000000000000000001 wei

Comment fonctionne une pièce crypto ?

Il existe deux méthodes populaires pour créer les cryptos natives d’une blockchain : l’UTXO (unspent transaction output) et le modèle de compte. Ainsi, certaines crypto-monnaies comme Bitcoin et Litecoin utilisent le modèle UTXO, tandis que d’autres, comme Ethereum et BNB Chain, utilisent le modèle de compte.

UTXO

Un UTXO est créé lorsqu’une transaction a lieu. Ainsi, lorsque les mineurs minent un bloc, ils effectuent une transaction “Coinbase” ou une autre transaction pour se payer afin de mettre à jour la blockchain. Une transaction Coinbase constitue la première transaction d’un bloc créé par un mineur.

Lorsqu’une sortie de transaction est créée, elle se convertit en UTXO jusqu’à ce qu’elle soit dépensée. Chaque UTXO contient des informations sur sa valeur (par exemple, le nombre de pièces qu’il représente). Ainsi, une fois créées, les sorties ne peuvent être utilisées qu’une seule fois comme entrée dans une nouvelle transaction.

Cela s’apparente à une transaction effectuée en pièces ou en billets. Ainsi, une UTXO est comme une pièce ou un billet, tandis que la valeur du billet peut varier, tout comme la valeur d’une UTXO. Une fois dépensé, vous ne pouvez pas récupérer le billet que vous avez utilisé pour payer une fois, tout comme les UTXO ne peuvent être utilisées qu’une seule fois. L’acheteur reçoit la monnaie restante de la transaction. Un autre UTXO est créé et envoyé au destinataire lorsqu’un UTXO est dépensé.

Si l’UTXO original dépasse le montant envoyé, un deuxième UTXO est créé et l’expéditeur reçoit le reste par l’intermédiaire d’une adresse de changement. Chaque UTXO doit faire référence à un UTXO précédent en tant qu’entrée, sauf dans certains cas particuliers comme les transactions Coinbase, lors desquelles de nouvelles pièces sont frappées. Cela crée une chaîne de conservation d’un UTXO à l’autre sur la base de l’historique des transactions. Vous pouvez retracer un UTXO jusqu’à la transaction où il a été créé en tant que sortie.

Le modèle de compte

Alors que le modèle UTXO enregistre les transactions d’une manière similaire à celle des billets et des pièces, le modèle de compte est similaire à une banque traditionnelle. Dans ce modèle, les comptes détiennent des soldes qui augmentent ou diminuent à chaque transaction.

Modèle de compte des crypto coins
Modèle de compte : Medium

Lorsque vous envoyez une transaction, la blockchain ajuste directement les soldes des comptes. Elle débite également le montant du compte de l’expéditeur et crédite le même montant au destinataire. Ainsi, les pièces ne sont techniquement pas « envoyées ». Il s’agit plutôt d’un registre actualisé à chaque transaction.

Un autre détail important à retenir est le nonce du compte. En effet, le nonce de compte correspond simplement à un index du nombre de transactions réussies d’un seul compte. Cela garantit que les transactions d’un même compte soient traitées dans l’ordre dans lequel elles ont été envoyées. Cela s’avère important pour maintenir la cohérence de l’état du compte, comme le solde d’Ether.

Le terme nonce (soit un nombre utilisé une seule fois) est assez fréquemment utilisé dans les domaines de la cryptographie et de la technologie. Les « nonces de compte » ont un objectif distinct des nonces dans le minage de la blockchain, des codes d’authentification des messages (MAC) ainsi que d’autres systèmes.

A quoi servent les pièces crypto ?

Les blockchains constituent des bases de données distribuées qui requièrent un réseau de nœuds afin de conserver toutes les données qu’elles stockent. Les nœuds correspondent à des ordinateurs ou à des serveurs gérés par des particuliers ou des organisations. Cependant, la maintenance de ces bases de données a son prix. Contrairement à Amazon Web Service ou Microsoft Azure, par exemple, les nœuds de la base de données (ou blockchain) sont anonymes et distribués à échelle mondiale. Il est donc impossible de rémunérer ces opérateurs de nœuds pour leur travail dans une monnaie fiduciaire.

Lorsqu’un bloc est créé, le nœud qui exploite ou propose le bloc reçoit alors une “coinbase” ou une allocation afin de maintenir cette base de données distribuée.

Une autre raisons à la création des pièces crypto : le paiement des frais de gaz et de transaction. En effet, lorsque vous créez une transaction sur une blockchain, un nœud doit prendre en charge votre transaction et dépenser des ressources pour l’exécuter. Les frais de transaction sont alors payés au mineur ou au proposant (validateur) qui exécute la transaction. Autrement dit, les frais de gaz représentent le coût d’exécution de la transaction et les frais de transaction représentent le coût de paiement du mineur ou du validateur pour l’exécution de cette transaction. Les utilisateurs paient les frais de transaction et les frais de gaz dans la crypto de la blockchain en question.

A ce sujet, la blockchain Ethereum est particulièrement connue pour ses frais de gaz élevés, mais il existe certaines méthodes afin de limiter ces derniers, et que nous avons expliquées dans notre guide complet à ce sujet.

Les pièces crypto les plus populaires

Bitcoin (BTC) : Créé par une entité – ou personne – anonyme au pseudo de Satoshi Nakamoto, le Bitcoin, ou BTC, est la première crypto-monnaie au monde. Conçu à l’origine comme moyen d’échange, il est aujourd’hui davantage utilisé comme réserve de valeur.

Ether (ETH) : L’Ether est la crypto-monnaie native de la blockchain Ethereum. Il sert ainsi de “gaz” pour la machine virtuelle Ethereum, qui permet aux développeurs de créer des applications présentant un certain niveau de complexité.

Solana (SOL) : En tant que crypto native du réseau Solana, le SOL sert à payer le gaz et les frais de transaction – lesquels sont d’ailleurs extrêmement bas sur Solana. La plus petite unité de SOL est le Lamport, nommé d’après Leslie Lamport.

Avalanche (AVAX) : Avalanche est un protocole de couche 0 qui utilise la pièce AVAX comme crypto native. Sur Avalanche, les utilisateurs peuvent créer des sous-réseaux en utilisant leurs propres nœuds.

Cosmos (ATOM) : Cosmos est un pôle permettant aux fondateurs de créer des blockchains à l’aide de l’IBC. Cela permet aux blockchains de communiquer, de partager des informations et de transférer des actifs, dont la crypto ATOM de manière sécurisée et standardisée.

Et les tokens crypto, alors ?

Contrairement aux pièces, les développeurs n’intègrent pas les tokens directement dans la blockchain. Ils créent plutôt des jetons en tant que crypto-monnaies à l’aide de contrats intelligents sur une blockchain. La logique de ce qui « qualifie » donc un token en tant que tel et régit son comportement dépend entièrement du développeur qui le crée.

Avec la plupart des blockchains actuelles, le réseau ne reconnaît pas les tokens qui y sont créés. Quelques blockchains comme Sui et Aptos offrent toutefois de rares exceptions à cette règle. Ainsi, certaines communautés ont développé des normes de tokens spécifiques à leur écosystème de blockchain, lesquelles permettent de régir la mise à jour des comptes. Ainsi, parmi la logique qu’ils gèrent, on peut citer :

  • La logique de transfert
  • L’enregistrement des événements
  • La mise à jour des soldes
  • Le calendrier d’approvisionnement et d’émission
  • Le mécanisme de burning (le cas échéant)

Vous voulez en savoir plus sur le burning de tokens ? On vous explique tout ici !

Le standard de token le plus populaire est sans doute le standard ERC-20 pour l’écosystème Ethereum et les chaînes compatibles de l’EVM. Il existe également la norme BEP-20 pour BNB Chain, SPL (Solana Program Library) pour Solana et, plus récemment, la norme BRC-20 pour Bitcoin (et on vous explique ces derniers par là).

Le concept de token, ou jeton, n’est pas spécifique aux crypto-monnaies, cela dit. En effet, de nombreux exemples de tokens existent dans le monde réel. Dans ce cas, un token constitue simplement une représentation physique d’un certain droit ou privilège. Par exemple, vous pouvez considérer l’acte de propriété d’une maison ou le titre de propriété d’une voiture comme un token ou une preuve de propriété de ces actifs.

La tokenisation correspond ainsi à la représentation numérique des droits et privilèges. Dans le cas des tokens créés par des contrats intelligents, ou smart contracts, le token représente le droit de transférer de la valeur.

Comment fonctionnent les tokens crypto ?

En dehors de la logique des standards, les tokens peuvent fonctionnent de différentes manières. Leurs fondateurs créent généralement des tokens avec un objectif spécifique en tête et adapteront leur comportement à l’application décentralisée (DApp) ou à l’écosystème au sein duquel ils opéreront.

Beaucoup ont tenté de créer des cadres pour classer les différentes logiques des tokens. Il s’agit cependant là d’un exploit herculéen, étant donné qu’ils peuvent être aussi diversifiés que l’imagination même du développeur en question.

Dans le cas des tokens ERC-20, la logique du token existe entièrement au sein du smart contract qui lui correspond. Ainsi, techniquement, les adresses sur Ethereum ne « détiennent » pas réellement de tokens, mais le contrat intelligent ressemble plutôt au registre d’un comptable : il répertorie ainsi les soldes de chaque adresse qui possède des tokens.

Lorsque quelqu’un « envoie » des tokens à une autre adresse, le smart contract met à jour le solde des deux adresses. C’est pourquoi il est important de créer des tokens en utilisant des normes bien testées et en appliquant les meilleures pratiques. À moins que les développeurs ne fassent attention, un pirate pourrait profiter d’une logique de token mal formée.

Les différents usages des tokens crypto

tokens crypto
Classement des tokens crypto: Research Gate

Comme indiqué précédemment, nombreux sont ceux qui ont tenté de créer des normes de classification des tokens crypto. Il s’agit cependant d’une tâche particulièrement difficile, car les tokens acquièrent chaque année de nouveaux cas d’utilisation. Leurs utilisations les plus courantes sont toutefois les suivantes :

  • Gouvernance : Le détenteur reçoit le droit de prendre des décisions pour un protocole ou une application. Les tokens disposant de cette fonction accordent également à leur détenteur certains droits privilégiés, tels que l’exploitation d’un protocole ou d’une application.
  • Utilité : Les tokens utilitaires permettent à leur détenteur d’accéder à des produits ou services spécifiques. Par exemple, la détention d’un token d’utilité en tant que monnaie de jeu peut permettre de jouer à des jeux sur une application.
  • Moyen d’échange/unité de compte : Une unité qui mesure la valeur des biens et des services et qui permet aux parties d’acheter et de vendre des biens et des services.
  • Spéculation : Un actif non productif qui ne produit pas de revenus, d’intérêts, de loyers ou de gains. Ces tokens sont spécifiquement créés en tant qu’investissement ayant un potentiel de rendement élevé, après quoi ils sont immédiatement vendus.

Les tokens crypto les plus populaires du secteur

Chainlink (LINK) : Chainlink est surtout connu pour ses services d’oracle agnostiques sur la blockchain. L’équipe de Chainlink travaille également à la création d’une infrastructure pour la communication entre les chaînes, les bridges ou encoree l’aléatoire vérifiable, entre autres.

The Graph (GRT) : Souvent décrit comme le Google du web3, The Graph est un protocole d’indexation des informations stockées sur la blockchain. Il permet à ses utilisateurs d’interroger, de publier et d’utiliser des données publiques pour créer des applications.

Render (RNDR) : Render est un projet qui permet à ses utilisateurs de réaliser des transactions sur un marché de GPU. Les vendeurs peuvent ainsi louer leur puissance GPU tandis que les acheteurs l’utilisent pour des tâches de rendu graphique.

Uniswap (UNI) : Uniswap est l’exchange décentralisé (ou DEX) le plus populaire d’Ethereum. Son token UNI confère à ses détenteurs des droits de gouvernance sur le protocole.

5. Gala (GALA): Gala Games est une plateforme de gaming basée sur la blockchain et dont les joueurs peuvent détenir, développer et trader des actifs au sein du jeu par le biais de crypto-monnaies.

Crypto coins vs token

CaractéristiquesPièces (Coins)Tokens
DéfinitionLa crypto native d’une blockchainConçu sur une blockchain pré-existante et selon un standart de token, comme ERC-20,
BlockchainDispose de sa propre blockchainN’a pas sa propre blokchain, est basé sur une autre blockchain comme Ethereum
FonctionsPrincipalement utilisé comme monnaie numériquePeut représenter des actifs, servir de token utilitaire, ou servir au sein des DApps.
CréationCréée grâce au minage, ou pré-minéeCréé par le biais de smart contracts
Cas d’usageSert aux paiements et en temps que stockage de valeurPeut être utilisé pour voter, accéder à un service, représenter des actifs (physiques ou numériques)
ExemplesBitcoin, Ethereum (ETH), Dogecoin…USDC, Chainlink, Shiba Inu, les NFT…
GouvernanceRégi par les règles du protocoleRégi par les règles de la blockchain qui l’héberge et de son smart contract
InterchangeabilitéFongible (chaque pièce est identique à toutes les autres)Peuvent être fongibles ou non fongibles (NFT)

Tokens crypto, coins et TradFi

A bien des égards, on peur comparer les coins crypto et les tokens à la monnaie fiducaire de la finance traditionnelle (TradFi). D’un point de vue de comptabilité, le registre qui répertorie et émet la monnaie est centralisé pour les trades, décentralisé avec les crypto coins et cela dépend en ce qui concerne les tokens.

Dans le monde de la finance traditionnelle, il existe différentes formes de monnaie, ce en raison de la complexité du système. Par exemple, le dollar peut se présenter sous la forme de dépôts bancaires, de monnaie fiduciaire (par exemple, des billets et des pièces), de bons du Trésor (par exemple, des obligations, des billets, etc.) ou encore de billets de banque centrale.

« Lorsque la plupart des gens pensent à l’argent, ils imaginent des bouts de papier rectangulaires imprimés par le gouvernement et connus sous le nom de monnaie fiduciaire, ornés de figures historiques. Bien qu’il s’agisse là de la forme de monnaie la plus connue, elle ne représente cependant qu’une petite partie de ce qui constitue la monnaie dans le système financier moderne. »

Joseph Wang : Central Banking 101

Tout cela complexifie le système de registres, mais en fin de compte, ce dernier s’avère majoritairement centralisé sous l’égide du gouvernement des États-Unis. En revanche, les pièces construites sur des blockchains font partie d’un registre décentralisé qui est pour sa part tenu par une communauté mondiale.

Dans le cas du dollar, le gouvernement américain peut sanctionner n’importe quel pays et l’empêcher d’utiliser des dollars. Avec une blockchain, cependant, chacun a le droit d’en mettre à jour le registre (soit frapper de nouvelles pièces), mais personne ne peut empêcher les autres de le faire ou d’effectuer des transactions. En revanche, les tokens n’ont pas forcément cette faculté. Tout dépend du smart contract qui les régit.

Et les stablecoins dans tout ça ?

Malgré leur nom, les stablecoins sont avant tout des tokens crypto. Leurs développeurs créent des stablecoins sur des blockchains déjà vérifiées et expérimentées ; c’est donc ce qui en fait des tokens. En effet, les blockchains matures disposent déjà de l’infrastructure nécessaire pour permettre à leurs utilisateurs de les employer.

Si les émetteurs de stablecoins devaient créer leurs propres blockchains pour émettre des pièces crypto, ils devraient alors également trouver un moyen d’attirer les développeurs pour qu’ils créent des applications sur leur blockchain ou les applications elles-mêmes. Ces deux options s’avèrent extrêmement coûteuses. Cela pourrait également avoir des conséquences importantes si ces fournisseurs construisaient leurs propres blockchains et reliaient les stablecoins à d’autres écosystèmes – par le biais de ponts, ou bridges – notamment :

  • Les utilisateurs mettraient leurs stablecoins en danger, en exigeant qu’un dépositaire conserve leurs pièces et frappe de nouveaux tokens sur la chaîne de destination.
  • Les dépositaires risqueraient de retirer la liquidité du pont en réalisant des scams de type “rug pull“, rendant les “wrapped tokens” sans la moindre valeur.
  • Les ponts devraient établir des clients qui vérifient le registre ou l’état de la chaîne source et de la chaîne de destination.
  • Les pirates informatiques pourraient potentiellement hacker les ponts ou les opérateurs de ponts.

Bien comprendre la différence entre les cryptos coins et les tokens

Cette comparaison entre les coins et les tokens crypto met ainsi en évidence des différences non négligeables entre ces types d’actifs numériques. Vous devez toujours faire des recherches approfondies et comprendre ces distinctions pour pouvoir effectuer des transactions en toute sécurité. En restant bien informé.e, vous pourrez naviguer votre route au sein du secteur des crypto-monnaies en toute sécurité et avec des résultats satisfaisants.

Foire aux Question (FAQ)

Quelle est la différence entre une crypto coin et un token crypto ?

Est-ce que Ethereum est un token ou une coin crypto ?

Quelles cryptomonnaies sont des tokens ?

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Célia Simon
Célia a poursuivi des études de langues ainsi que de traduction générale et juridique à l'Université de Bordeaux, l'Université de Tours et la Organización Mexicana de Traductores à Guadalajara au Mexique. Après avoir découvert le potentiel des cryptomonnaies en 2020, elle travaille actuellement en tant que rédactrice en chef pour BeInCrypto France. Membre de la Organización Mexicana de Traductores et traductrice assermentée de l'État de Jalisco. Ses zones d'expertise : - Les...
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